fragmentsAutomata

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Cypher automata,
Array de var, insectes gorgés de file
Une toile invisible projettant les data

Sur un tissage de conditions
Une information glisse
Celle venant de nebule.use

Un point sombre était tombé des alba dies, le navigateur avait quitter mélanchrome en tombant
D'un monde à l'autre les câbles le relie à différentes consciences scellant l'ipséité d'une charge dans un désert digital situant trois points de gravité, un tryptique de lucidité.

Il tombe en catacombes ascii-métriques, data-tonal. Rivière de savoir sous forme binaire, une entité à la perspective hybride prit le contrôle d'un aspect cryptique, la brèche qui découpe ou brise les instants entre chaque temps et quantique notre réalité, les unités qui me décroche.
Emportent avec elles au loin mes idées d'un retour aux univers de projections. Le jeux des astres continue au loin comme un champ en spectogramme ondulant sur la fréquence d'une alternative égarée dans un nuage de pensées, celles enfuient en réflexion automatique ; freeze ; mod for alba dies

Je remonte la rue avec une nouvelle envie, le temps et la proportionnalité des aspects me réconforte de cet espace dans lequel je marche, chaque chose prend la forme de sub-versum, créé dans notre monde une variété de probabilités ; ne me souciant pas encore du voile des aspects.

Un regard défiant le temps et venant du monde Distortion prit en mon crâne un atome crochu, d'une attention particulière j'écoute les paroles traversant les multiples réalités pour attérir en écho.

Les voix ont des visages, telles des ombres elles alimentent mes songes.
Pourtant leurs paroles m'ensorcellent, me transportant vers un lieu blanc.

Parcourt en silence, un couloir aux mouvements macabres, oscillations ossuaires, estuaire en damier.
Les allures se fondent, je ressens dans le creux de mon dos, un être à huit pattes mouvoir sur mes articulations, plongeant de ses crocs le venin acharné des oublis. Je ressens en lui, un tambour enfermé dans une boucle. Au sol, il n'est qu'une créature étalant des lames, agitant des faux, rasant en hématome la chair des agneaux.

Les sons fracassant de l'acier dansent tel deux démons, une simple mélodie s'égare dans le vacarme rubis.
Les yeux se jettent au sol, je savoure en eux - la vengance.
Mes doigts sont de cendre, effacés par les hommes & en chimie avec l'air, épargnés des démons, il réside à présent en charogne !

L'art de la divagation éclabousse les murs, j'emprunte une ruelle, un chemin vers un autre, architecture décomposée d'une ville, entre les murs, un flot d'électron parade lumineusement, éclats de photon, flux originel filant dans les entrailles d'une mégastructure [BX-HELL]

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